Après un dernier regard pour l’oracle, je m’approchais de la porte de la Géhenne, et là, croyez-le ou non, mais là situation devint fumeuse : les plumes de Métatron se mettaient carrément à griller, et son corps à lancer des ondes d’énergie blanche. Mais c’est que même évanouie mon petit chou se mettait à faire de la résistance. Et çà commençait à faire mal d’ailleurs, au cuir des ailes et à mes vêtements. Enfin je n’allais pas me plaindre : des siècles que je l’attendais, sa précieuse petite âme pour avoir une collection complète de ma lignée maudite. Et puis sa Majesté aussi attendait. Je devrais l’avertir rapidement.
Mais pour le moment, direction le Cinquième cercle et mon château. Métatron était un invité spécial, je me devais de faire les choses dans les règles ! J’arrivais par la grande porte, provoquant l’agitation de tous mes serviteurs. Pensez-vous : Métatron chargé comme un sac à patate sur mon épaule, bien sûr que c’était effrayant…Je me mis à hurler :
« C’EST PAS FINI CE BORDEL ! Vous voyez bien qu’il est dans les pommes, alors calmez-vous. Toi ! Approche ! » Le serviteur vint en tremblant. Je tirais une plume blanche, brûlée sur les bords, de l’amas de plumes qui lui servait d’ailes, et la lui tendis. « Tu vas apporter çà au Seigneur Lucifer, et tu vas lui dire que le Seigneur Astaroth détient un jouet qui lui plairas énormément : le plus beau des Séraphins ! »
J’étais cruel avec mon serviteur, lui et moi savions que ces paroles mettraient sa Majesté dans une colère noire : il était le plus beau des Séraphins. Mais là au moins, j’étais sûr de lui voir rappliquer son petit cul rapidement, rien que pour me hurler dessus. Et peut-être par curiosité aussi.
Je continuais mon chemin avec mon précieux chargement, pour l’emmener dans mes appartements. Une fois fait, je le jetais sur mon lit, l’enchaînant avec nos chaînes spéciales invités angéliques. J’en avais toujours à porté de mains dans mes appartements, on ne savait jamais. Et pourquoi mon lit ? Il était de ma lignée maudite, celle que j’avais créée. Je lui devais un traitement spécial. Et puis je ne voulais pas que l’on dise que l’hospitalité de ma maison était pourrie. Je m’assis sur mon canapé et m’étendis dessus, allumant une cigarette. Je savourais mon bonheur, enfin de la nicotine…Je fis des ronds de fumée, en attendant le réveil de mon chou à la crème, et l’arrivée de mon Seigneur. Et pas forcément dans cet ordre. Et puis, cela m’aidais à réfléchir quoi faire de lui. Il ne fallait pas saloper le travail, que diable !
Mais pour le moment, direction le Cinquième cercle et mon château. Métatron était un invité spécial, je me devais de faire les choses dans les règles ! J’arrivais par la grande porte, provoquant l’agitation de tous mes serviteurs. Pensez-vous : Métatron chargé comme un sac à patate sur mon épaule, bien sûr que c’était effrayant…Je me mis à hurler :
« C’EST PAS FINI CE BORDEL ! Vous voyez bien qu’il est dans les pommes, alors calmez-vous. Toi ! Approche ! » Le serviteur vint en tremblant. Je tirais une plume blanche, brûlée sur les bords, de l’amas de plumes qui lui servait d’ailes, et la lui tendis. « Tu vas apporter çà au Seigneur Lucifer, et tu vas lui dire que le Seigneur Astaroth détient un jouet qui lui plairas énormément : le plus beau des Séraphins ! »
J’étais cruel avec mon serviteur, lui et moi savions que ces paroles mettraient sa Majesté dans une colère noire : il était le plus beau des Séraphins. Mais là au moins, j’étais sûr de lui voir rappliquer son petit cul rapidement, rien que pour me hurler dessus. Et peut-être par curiosité aussi.
Je continuais mon chemin avec mon précieux chargement, pour l’emmener dans mes appartements. Une fois fait, je le jetais sur mon lit, l’enchaînant avec nos chaînes spéciales invités angéliques. J’en avais toujours à porté de mains dans mes appartements, on ne savait jamais. Et pourquoi mon lit ? Il était de ma lignée maudite, celle que j’avais créée. Je lui devais un traitement spécial. Et puis je ne voulais pas que l’on dise que l’hospitalité de ma maison était pourrie. Je m’assis sur mon canapé et m’étendis dessus, allumant une cigarette. Je savourais mon bonheur, enfin de la nicotine…Je fis des ronds de fumée, en attendant le réveil de mon chou à la crème, et l’arrivée de mon Seigneur. Et pas forcément dans cet ordre. Et puis, cela m’aidais à réfléchir quoi faire de lui. Il ne fallait pas saloper le travail, que diable !