Pris la main dans le pot de confiture [pv Lucifer]*Terminé*

Les jambes repliées contre mon torse, assis sur le rebord d’une large fenêtre donnant sur la cour intérieure du château, je soupirais. Nous avions été rassemblés incubes et succubes du château dans cette grande salle en début de soirée, au cas où sa Majesté, ou un Seigneur ou un prince que sais-je, aurais eu besoin de nos services. Et dans ce cas, or de question de traîner et de faire patienter notre « client ». Nous devions être à sa disposition, et le plus rapidement possible, soit de suite !

Pourtant, je savais bien que ce ne serait pas à moi que l’on ferait appel. Et cette sale petite garce de Mnémosyne qui avait intrigué auprès du démon chargé de nous choisir avait réussi à me recaler dans l’ordre de passage, pour me faire passer derrière elle, alors que j’avais plus d’ancienneté dans le château ! Elle ne perdait rien pour attendre. Elle était si égoïste, si sûre d’elle, si égocentrique, si….succube quoi !! Il serait facile de la manipuler.

Je venais justement de découvrir un nouveau poison, et je voulais absolument le tester. C’était l’occasion parfaite ! Je sortis de mon nounours mon gloss, et m’en mettais minutieusement sur les lèvres. Ce poison était si subtil : en y ajoutant comme ingrédient mon sang, il en devenait totalement inoffensif sur moi. Qu’elle aubaine ! Par contre, il n’était pas assez puissant pour tuer un Prince ou un Seigneur, ce que je n’aurais jamais pensé à faire….Autant se jeter de suite sur les lames du Maître…

On nous avait apporté des plateaux de nourriture composés de fruits, gâteaux, mignardises et autres douceurs, ainsi qu’une sélection variée de boissons, allant des plus doux nectars de fruits aux plus doux des vins. Je saisissais cette occasion. Elle était tellement certaine de son succès qu’elle ne manquerait pas de me prendre dans la main ce que j’aurais choisi. Je saisis une pomme et croquait dedans la chair savoureuse à pleines dents. Cela ne manqua pas ! Elle me vola le fruit en disant qu’il avait l’air trop bon pour moi et croqua à son tour là où j’avais déjà mordu.

Je feignis la peur et la crainte, serrant ma peluche contre moi, avant de retourner rapidement à ma place, tête basse. Mais en fait, je regardais dans le reflet de la fenêtre comment elle allait réagir. C’est que c’était une première il ne fallait pas l’oublier, je ne devais pas en perdre une miette ! Cinq minutes passèrent, avant qu’elle ne soit prise de vertiges, de maux de tête, et ne s’évanouisse…de manière définitive. Je me recroquevillais encore plus, mimant la peur des événements, enfouissant mon visage dans ma peluche. Mais ce n’était pas pour cacher ma crainte ou ma surprise, mais mon sourire triomphant !

Gagné !! Et une de moins !! Qui sera le suivant ? J’avais déjà hâte, réfléchissant à l’utilisation d’une nouveau poison.

Je regardais les nouveau incube et succube, les plus jeunes, comme les plus vieux… je voulais m’amusé un peut tout était répertorié comme dans une sort de catalogue on me dit aussi qu’ils étaient dans leur salle pour attendre qu’un client ne vienne, apparemment les esprits était échauffer, j’avais envie de m’amuser alors discrètement je me rendit dans la dite salle, la plus part ne me connaissait pas et ne m’avais pas vu, alors l’aubain était que je passais encore plus inaperçu, mais avec mon gros capuchon je ressemblais juste à un démon ordinaire. Cependant, bien entendu comme toujours, certaine succube ou incube en rabaissait d’autre… il y avait une putain de hiérarchie ici, mais eux ne la respectait pas, croyant que tout était permit entre démon d’un même niveau. Qu’elle connerie, cependant ce qui m’attira le plus fut un jeune incube avec une grosse peluche. Asmodée m’avais dit que celui-là, qui était son fils et le fils d’une de mes petites filles, était un petit cachotier, je gloussait, comme il semblait innocent… mais je le vit mettre quelque chose sur ses lèvres croquer dans une belle pomme et il se la fit volé par une succube « trop » chiante, l’une de mes filles en primes! Je le regardait faire la succube tomba, pour tomber définitivement, je souris de où j’étais je voyais bien son visage déformer par le sourire, je m’approchait de lui, qui ne semblait pas me voir et baissa mon capuchon tout le monde souffla « Ho non Lucifer… » . Puis je pris le poignet du jeune incube et le soulevait du sol pour prendre ce qu’il avait mis sur ses lèvres et en renifla la douce odeur avant que je ne dise :

- Toi… ton nom est Lux c’est bien cela? Viens avec moi, j’ai quelque chose à te faire, faire. Je dois aussi… te punir pour ce que tu viens de faire tout de même.

Puis je tournais les talons me taillant un chemin dans la foule. Les gens regardait le pauvre incube, ils devaient tous croire qu’il allait mourir, puisque je disais la même chose quand j’étais sur le point de tué un démon trop… irrespectueux.

J’étais encore à savourer le fruit de ma victoire quand je me sentis attrapé et soulevé de mon perchoir, tout en entendant un « Ho non Lucifer… ». Je serais instinctivement ma peluche contre moi, dans un geste inutile de protection. Si le Seigneur décidait de me tuer pour avoir tué sa fille, il était dans son droit. Il était le Maître, et cette raison était bien suffisante, et je n’étais qu’un tout jeune incube. Cela ne m’empêcha pas de lever la tête pour voir. Oui je ne l’avais jamais vu mais on nous l’avait tellement décrit, que je saurais bien si c’était une blague non ? Et oui…c’était bien lui…Je gémis de peur, mes genoux tremblants.

Je venais de comprendre que je venais d’être pris en flagrant délit dans le garde-manger, la main dans le pot de confiture et jusqu’au coude même ! Je me recroquevillais encore plus à ses paroles, fermant les yeux, mais rien n’y fit. Je le sentis me tirer, fendant la foule. J’avais du mal à le suivre dans les couloirs, je titubais, tremblais, et manquais plusieurs fois de tomber tellement ma peur prenais le dessus. J’allais mourir, et çà allait faire très mal. Je sentais des larmes couler le long de mes joues. Je ne voulais pas mourir maintenant…non…

Ma mâchoire tremblotait elle aussi. J’avais envie de hurler ma peur, de demander pitié, mais je savais que rien n’y ferait si s Majesté avait décidé de me supprimer. Alors j’essayais au mieux de garder le peu de dignité qu’il me restait, et demeurais silencieux, ravalant mes sanglots malgré la boule qui s’était formé dans ma gorge. Mes yeux étaient tellement inondés de larmes que je ne voyais même pas où nous nous étions rendu. Une salle de torture ? Quand enfin nous stoppâmes, je tombais à genoux, face contre terre. De un j’étais incapable de rester debout, et de deux je devais respect à mon Seigneur, même si dans deux secondes il l’allait me tuer.

Je sentais la petite créature tremblante content de l’effet que je faisais il était sur de mourir, la surprise qu’il aurait quand sa sera pas le cas, quand j’arrêtais dans mon bureau je le lâchait et prit une boite de mouchoir que je déposai violement sur la table, qu’il soit sur que le bruit est celui d’une boite de mouchoir et m’assis dans la chaise roulante en mettant mes mains derrière ma tête et mes pieds sur le bureau en disant.

- Alors… dit moi… ton poison, il est composé de quoi? Et surtout pourquoi il ne fait rien à toi? Et y’a d’autre truc de cacher dans ta merveilleuse peluche? Aller sèche tes larmes et calme toi je ne vais pas de croquer! C’était plus pour qu’on te foute la paix après ça, si je te laisse en vie cela veut dire que tu peux me servir, ils y repenseront a deux fois… disons que j’ai encore besoin des succubes et si j’en croix les nombreux rapports tu dois être le tueur de plusieurs d’entre elle. Aussi tu pourras me servir et pas seulement en tant qu’incube, tu pourras me servir pour plusieurs dizaines de chose. Si tes poison son efficace je vais te demander de pouvoir en donner aux hommes et aux anges. Tu es petit alors ils ne penseront pas que tu peux être réellement mauvais, surtout que mis à part cela ton père m’a dit que tu n’avais pas d’arme à proprement parler sauf ton intelligence pour les concoctions de toute sortes.

Je fini par me lever et m’approcha de lui pour lever son menton et aller licher les larmes saler qui était sur ses joues, histoire de le rassuré qu’il sache que je ne vais pas le tuer et lui montra une chaise pour qu’il s’installe confortablement en demandant s’il avait besoin d’autre chose pour faire plus de ses poisons.

Je sursautais au bruit, relevant timidement la tête. Une boite de mouchoirs ? Son Altesse collectionnait peut-être les têtes de ses victimes, et elle ne voulait pas d’une tête horrible à voir. J’essayais de me calmer mais c’était peine perdue. Je rampais jusqu’au bureau pour prendre la boite et sécher mes larmes tout en me mouchant aussi discrètement que possible, avant de rester stupéfié face à toutes ces questions. Je me relevais timidement avant de m’asseoir du bout des fesses sur un siège, mon nounours et la boite de mouchoirs étroitement serrés contre moi, comme si ces deux objets étaient des ancres me reliant au monde matériel, m’empêchant de m’effondrer. En plus il avait dit que papa me connaissait, alors que je croyais qu’il ne savait même pas que j’existais. Je rosis. Enfin pas trop non plus : je m’étais fait bien pincer après tout…J’essayer de contenter sa Majesté et de répondre dans l’ordre à ses questions :

-C’est un poison spécial : j’y ai ajouté comme ingrédient mon sang, alors je suis immunisé. C’est le même principe que les morsures de serpent ou les microbes : à petite dose, c’est un vaccin. Il n’y a que des ingrédients que l’on trouve facilement. J’essaye d’être le plus discret possible, alors je n’ai pas de labo que ma chambre. Le plus dur a été l’eau bénite. Mais…avecMétatronj’aipufaireunstock.

Dis-je d’une traite. Le souvenir devait encore être douloureux, je ne préférais pas m’étendre dessus. J’ouvris ensuite mon Nounours et déposais silencieusement son contenu sur le bureau : le gloss qui avait tant fait d’effet, un plug anal, un gode et un vibreur.

-Il faut toujours être prêt. Expliquais-je pour m’excuser du contenu. Et puis des fois on s’ennuit en attendant que quelqu’un ait besoin de nos services, çà aide à passer le temps…

Je réfléchis au reste de sa proposition. Des poisons pour les hommes et les anges ? Oui je pouvais faire, ce qui délia ma langue.

-Pour les hommes c’est facile. Mais tout dépend si vous voulez que ce soit spectaculaire ou discret pour les effets. Les anges je n’ai jamais essayé, je n’avais pas…l’utilité de me pencher sur la question. Mais ce sera plus complexe. J’aurais besoin…d’un libre accès à la bibliothèque : certains ouvrages me sont interdits car je suis un jeune démon. Et aussi…d’un vrai laboratoire. Jusqu’à maintenant j’ai toujours fait çà discrètement dans ma chambre pour ne pas me faire pincer par mes pairs…J’eus la grâce de rosir. Je venais quand même de me faire attraper par le Maître en personne, niveau discrétion j’avais des progrès à faire. Enfin…j’aurais besoin d’un accès à la réserve de fourniture. Cela m’évitera d’avoir à chaparder en douce ou de devoir détourner l’attention du gardien, il est nul j’en ai marre de simuler.

Je regardais Lux et riait légèrement de son comportement et finalement il me dit ce que comportait son poison par contre je grimaçais au souvenir de Métatron avant de rigoler quand il sorti ses jouets et m’expliqua le comment du pourquoi. Ensuite il déballa son sac quand à ma proposition, de ce qu’il avait de besoin et tout et tout et claquait de doigts en disant.

- Ce n’est point un problème, mais tu continueras de te faire discret d’accord?

Je me levais et sorti un gros sac en disant.

- Tu vas entrer la dedans et je vais t’emmener a la bibliothèque tu me diras ce que tu as besoin dans l’oreille et je te ramènerais jusqu’à ta chambre et tu ne pointeras le bout de ton nez que demain au diner, en disant que je t’ai fait passer une superbe soirée d’accord?

Je souris et quand il fut entré dans le sac je le chargeais comme un sac a patate sur mon dos et alla au laboratoire, bibliothèque et autre. Chaque chambre avait une anti chambre secrète que seule une personne connaissant l’accès pouvais y aller, en cas contraire personne n’était au courant. Alors je pris les livres et autre truc dont il avait besoin et apporta le tout dans sa chambre pour ouvrir l’antichambre cacher en lui montrant comment faire et y posa les affaires, les livres dans une bibliothèque en lui disant de les garder, et j’y plaçais toute ses affaires pour qu’il soit confortablement installer et lui donna une plume de Métatron brûler sur les bords en disant.

- Tu peux faire du poison pour les anges avec ça?

J’avais grand espoir que ce petit bonhomme réussis puisque Asmodée vantait bien les mérites de son intelligence.

J’hochais vivement la tête à l’ordre. Oui je serais discret de mon mieux, je redoublerais d’effort promis. Je n’avais pas envie de mourir !! Je rangeais mes affaires, tout content d’être encore en vie grâce à un hasard cosmique (il faudrait que je pense à vérifier l’alignement des planètes pour le noter tiens !) et reposais la boîte de mouchoirs. J’écoutais ses explications et fit ce qui m’étais demandé, soupirant quand même : c’est qu’avec toutes ces émotions, j’aurais bien voulu la connaître moi la super soirée !! J’allais me vanter du plus bel épisode de la vie devant les autres, et il ne me serait pas arrivé en vrai. C’était pas juste !!

J’indiquais quand même avec efficacité les ouvrages et ingrédients dont j’aurais besoin en premier lieu. Suivraient probablement d’autres. Une fois arrivés dans la chambre après tout ce shopping, essayant de tout tenir sans rien casser et sans pincer ma queue, j’observais le Maître ouvrir une antichambre d’un air outragé : toute cette place restée vacante jusque là alors que j’aurais pu l’utiliser à si bon escient ! J’aidais quand même à ranger, ce n’était pas le rôle de Monseigneur.

Quand il me donna la plume, je l’examinais avec attention sous toutes les coutures. C’était fort, son pouvoir me piquait encore les doigts. Pourtant, je secouais la tête.

-Ce serait bon pour faire un antidote à un poison, même si elle est abîmée. Une plume de Métatron est puissante. Si je dois tuer des anges, il me faut quelque chose de totalement opposé, comme…je déglutis et m’agenouillais, votre sang ou une vos plumes. Je prendrais bien les miennes, mais je ne suis pas de taille face à la puissance de certains anges.

Ma queue se tortillait en tout sens, signe de ma nervosité. J’avais encore deux questions à poser, et elles étaient pour moi toutes de même importance. Je me lançais donc, Monseigneur n’ayant pas que çà à faire…

-Si j’ai besoin d’autres livres ou fournitures, comment dois-je faire ? Et puis vous savez…si vous voulez me faire passer une bonne soirée…çà ne me dérange pas…Au moins je saurais quoi raconter demain soir au dîner. J’ai beaucoup entendu parler de vous, mais un récit de première main est toujours mieux non question authenticité ? Incube un jour, incube toujours !

J’écoutais ce que lux avait à dire mais rigola quand il me demanda une plume, je posais ma main sur sa tête en disant

- Oh mais… toute mes plumes on brûler depuis longtemps Lux, mais mon sang, par contre, ça ne sera pas un problème!

Je rigolais et sorti une grosse fiole et un couteau, je m’entaillais le poignet et fit couler beaucoup de mon sang dans la fiole et la lui donna alors que ma plaie ce refermer tranquillement. Finalement je m’assis sur le lit et porta ma main à mon dos, il restait bien deux ou trois plume dans mon pauvre dos accrocher au rebord de mes ailes de sang et de peau. J’arrachais l’une de mes plumes, n’étant pas en colère mais amuser, mes trait était peut-être plus fin qu’à mon habitude, mais cela ne ce remarquait peut à voir pas du tout. On entendit un petit « touic » quand ma plume s’arrachait et ma tête en fit une grimace, c’est que ça faisait mal tout de même! Puis je la tendis a lux, une belle plume entièrement blanche, brillante comme une étoile et plus douce que le satin. Puis j’écoutais sa demande en le regardant pour rigoler. Je rigolais plus de la situation que de la demande! Voir qu’on me demandait un truc pareil et fallait pas se faire prier avec moi! Je croisais mes jambes en disant :

- Pour les fournitures tu n’auras qu’à y aller, point finale! Si tu te fais gronder tu vas être emmené devant moi, alors pas de problème de ce côté-là! Et puis pour ta demande…

Je levais mon doigt et lui dit d’approcher pour glisser ma main dans le nounours et en sortir un jouet en disant dans son oreille

- Tu dois bien en avoir d’autre dans ta chambre non? Tu peux me les montré?

Je me disait aussi que s'il en avait peut, vu sa puissance réduite pour un démon, je pourrait toujours lui en offrir d'autre, ainsi qu'une chambre pus confortable s'il est doué, sa sera une veine pour lui et un incube personnelle a plusieurs fonctionnalité pour moi. Et puis en plus d'être mignon, j'adorais son linge et son cul semblait sublime.

Quand je sentis la main de son Altesse sur la tête, j’eu peur d’être allé trop loin. Mais heureusement non, c’était simplement pour m’expliquer qu’il n’avait plus une seule plume. Mais il consentit à me donner de son sang. Je regardais le liquide épais s’écouler dans la petite fiole, imaginant déjà tous les ravages que cela pourrait causer. Je pris la fiole avec respect.

-Je vous promets de ne pas en gâcher une seule goutte Majesté ! Dis-je avec ferveur avant d’aller ranger précautionneusement le précieux liquide dans un endroit sûr.

J’entendis ensuite un bruit que je connaissais bien pour l’avoir plusieurs fois entendu quand j’avais besoin de mes propres ailes. Je revins vite sur mes pas pour voir face à moi une plume d’une blancheur immaculée. Finalement il lui en restait une…Je la prenais avec une révérence encore plus grande que précédemment.

-Elle sera pour Métatron, répliquais-je avec une voix calme et posée, la rangeant dans un coffre pour plus de sécurité, puis sur une étagère de l’antichambre.

Je refermais cette dernière. Ce n’était pas ce soir que je me mettrais à mes filtres et à mes cornues. J’hochais la tête à son explication pour les fournitures. J’eus un sourire mauvais en rêvant déjà de la tête de ces idiots quand sa Majesté leur expliquerait que j’avais son autorisation. Je m’approchais ensuite à sa demande, avant de rigoler à la question.

-Comme tout bon incube, j’ai toutes sortes de jouets dans ma chambre : plugs, œufs, vibromasseurs, godemichets, chapelets, fouets, bougies, cannes, menottes, cordes, barres et entraves. Dis-je en ouvrant différents tiroirs et armoires. Je n’ai par contre ni croix ni chevalet ni huiles de massages Majesté, ni toutes les tailles pour ces divers jouets, je suis encore jeune, ma collection s’agrandira avec le temps. J’ai aussi des foulards rajoutais-je après un instant de réflexion, j’adore avoir les yeux bandés expliquais-je en tapotant le bandeau qui pour le moment était encore sur mon front. Qu’est-ce qui serait à votre convenance ? Demandais-je, espérant ne pas l’avoir déçu…

Je regardais lux ce promener partout en me montrant plus ou moins ou était ses objets et tout me dire sur ce qu’il avait, c’est que pour son âge il avait tout de même une belle petite collection! Par contre plusieurs des objets me tentait, mais l’huile a massage ferait du bien, je gloussais et lui dit de prendre de ses jouets préféré, autant qu’il voudrait du moment qu’il peut les cacher dans sa peluche, et de me suivre. On changeait de salle, pour plus de confort, de diversité et d’amusement et puis, ils ne le croiraient pas s’il n’avait pas vu ma salle faite juste pour cela! J’attendis a la porte qu’il me rejoigne et marchais dans les couloirs du palais, les gens me faisait une courte révérence en passant et saluait Lux et cela valait de soi, ils y étaient obligé puisqu’il était à mon service et que j’étais son client pour une nuit. Cela voulait dire qu’il était à la hauteur des meilleures attentes, ou bien qu’il serait évalué pour le savoir. Mais Asmodée surveillait chaque incube et chaque succube de son cercle les évaluant par leur client, même s’ils en avaient peut parfois c’était eux les meilleurs, seulement les moins connus et il met les présentait ensuite… mais seulement la crème de la crème et jamais, Ô grand jamais il ne m’avait déçu quand a ses choix et il hésitait à propos de lux, me disant qu’il avait seulement plus ou moins de l’expérience puisque ses clients était plus rare.

Finalement j’arrivais devant ma porte et l’ouvrit, la grande pièce était recouvert de tiroir et de meuble content des jouets sexuelle par centaine. Au centre de la pièce il y avait de magnifique divan or et rouge en satin, le plafond était recouvert de toile semi transparente qui pendait, des rouges comme des blanches, ils y avaient des chaines aussi et un grand, très grand matelas à l’arrière ainsi que plusieurs objet et commode réservé à la torture que ce soit la plus douloureuse pour les châtiments ou plus sensuelle pour les masochistes. Je lui désignai rapidement la pièce en la balayant d’un revers de main en disant.

- Bienvenu dans ma chambre Lux. Une nuit digne de ce nom avec moi, doit absolument ce faire dans ma chambre, c’est impératif. Et puis, ils te croiront d’avantage, puisque rare sont les incube ou les succubes à avoir vu ma chambre et il suffira de demander au plus anciens pour qu’ils le disent.

Je tirais la langue et lui désigna la grande garde-robe d’un revers de tête en disant :

- vas te choisir un petit costume je t’attends ici.

Puis je m’assis sur l’un des trois grands sofas qui meublait le milieu de ma chambre. Je me demandais bien qu’elle costume il mettrait, il y en avait par centaine, en passant du lapin a une sorte de costume d’infirmière, ou infirmier sexy. Non pas que je n’aimais pas ses vêtements, bien au contraire, seulement si je voulais, mes costument je pouvais les déchirer puisque apparemment les vêtements de lux sont dure a trouvé et ou à faire.

Je regardais mon Seigneur avec un grand sourire. On allait ailleurs ? Pourquoi pas ! Ce serait intéressant un changement de décor. Le choix était cornélien…En plus de mes trois jouets déjà présents, je rajoutais une bougie et une petite boîte d’allumette, ainsi qu’une paire de menottes bordée d’une délicate fourrure en renard argenté. Oui de la vraie fourrure. C’était l’un de mes plus beaux objets, j’y tenais beaucoup. Mon Seigneur méritant ce qu’il y avait de meilleur, je ne pouvais pas l’écarter de ma sélection. Après cela, mon Nounours était rempli, et je fermais à clef ma chambre, on était jamais assez prudent : on m’avait vu partir pour mourir, alors on pourrait bien venir me voler si l’on ne me trouvait pas dans mes appartements.

Je suivis avec l’écart nécessaire du à nos rangs respectifs Mon Seigneur, soit 5 pas derrière lui. Je rendais leur salut à toutes personnes poliment, ma peluche serrée contre moi, ma queue se tortillant d’excitation. Il avait dit oui, même si la manière était peu conventionnelle, et j’allais être à son service pour toute la nuit, si je tenais la distance. J’espérais vraiment être à la hauteur de la tâche. Il ne fallait pas perdre cette occasion, et puis je devais faire honneur à mon père !

J’entrais stupéfié dans la pièce, si célèbre et pourtant si peu connue en même temps : la chambre de Lucifer, Seigneur de la Géhenne. Je fis quelques pas timidement, regardant la beauté et la qualité des voilages, les divans d’un rouge si intense qu’on aurait dit du sang frais, le lit, les commodes regorgeant de jouets. Je souris doucement. La nuit serait vraiment très intéressante. Quelle joie !

Je m’inclinais à la demande, posant mon Nounours près de lui avec un ordre « Tu dois tenir compagnie à Notre Seigneur pendant mon absence ! » Je détachais mon haut devant mon Seigneur, enlevais mes gants, puis mes chaussures, mes bas, et ôtais enfin ma jupe-culotte, le plus aguicheusement du monde, avant de sautiller jusqu’à la penderie, et de me retrouver devant un problème de choix : il y avait trop de choix ! Je furetais de ci de là, avant de finalement arrêter mon choix sur un costume qui me fit vraiment rire, car je n’aurais jamais pensé que sa Majesté en ai un dans sa chambre ! Pensez-vous : un costume d’ange, avec l’aube, l’auréole et même les fausses petites ailes blanches dans le dos ! Je passais le tout rapidement, et revenais à pas lents vers Lui, avant de m’agenouiller à ses pieds.

-Seigneur, bénissez-moi car je fais pêcher. Dis-je avec toute la lubricité et la luxure dont j’étais capable.

Quand je le vit ce déshabiller je le regarda faire, bien amuser de voir ses fesses et sa peau, quand il partit j’enlevais la plus part de mes vêtements sauf mon pantalon et mon caleçon puis j’attendis Lux pendant un moment avant de le regarder surprit de le voir avec un costume d’ange, c’est que je l’avais oublié ce costume et ça me fera une joue supplémentaire de le déchiré, par contre le voir à genoux et implorer ma bénédiction me fit un effet monstre et me fit rapidement bander. E le regardait pour mettre mes mains de chaque côté de son visage et me pencha vers lui en disant

- Tu t’es trompé de porte mon petit ange, je ne vais certainement pas te bénir avec la même eau sacré mon cher!

Je rigolais et me penchait avant de me mettre à genoux et de relever sa tête à deux mains pour aller saisir sa langue de la mienne avec la fougue de mon envie maintenant bien et entièrement présente! Mes mains ce furent baladeuse et ce promena sur ses flancs fragile de jeune garçon. Puis je glissais mes doigts dans les piercings au niveau de ses perle de chair et tirait dessus tout en jouant avec les petites perles rose et dure. Je fini par rompre le baiser en tirant la langue le souffle plus court pour aller dans le cou de lux en soufflant.

- Tu es vraiment… excitant, digne d’être un incube. Dommage que tu ne te sois pas démarqué d’avantage.

Puis je le couchais sur le sofa avant de me placer au-dessus parcourant mes lèvres sur son torse jouant de ma langue ici et la ainsi qu’avec mes mains baladeuses qui passait partout faisant les agaces. Finalement mes mains allèrent jusqu’au sienne pour les prendre et lui montré de ne pas se gêner et qu’il pouvait parcourir mon propre corps comme il le désirait.

A genoux, j’avais une magnifique vue sur la bosse bien visible sur le pantalon de Mon Seigneur. Je me léchais littéralement les lèvres à l’idée que j’allais bientôt le connaître, sa passion au lit était célèbre. Et j’étais en même temps très fier d’avoir réussi à l’exciter, cela flattait mon égo d’incube. Je le regardais se pencher vers moi, ses mains sur mes tempes, répondant :

-Je vous en prie Seigneur, soumettez-moi à la tentation et délivrez-moi de mon mal, reprenant à ma sauce la si célèbre prière à Dieu. Peu m’importe si votre eau n’est pas sacrée, elle sera bénite pour moi…

Continuais-je avant de me faire embrasser. Je répondais avec la même passion, me félicitant d’avoir choisi une robe si large : si Mon Seigneur devait se sentir serré, j’étais moi libre, ce qui était plutôt agréable vu mon état de tension. Les baisers de sa Majesté étaient si bons…J’en gémissais de plaisir. Et ses mains qui parcouraient mon corps, et…Oui !! Qui tiraient sur mes piercings…Je profitais d’avoir mes mains libres pour entièrement baisser mon bandeau. C’était parfait là…Je gémissais plus fort. Sa manière de jouer avec mes tétons était sublime elle aussi. Je sentais mes joues se tinter de rouge tellement j’étais excité, le souffle court à la fin du baiser. Je couinais de frustration, mais il fallait bien respirer malheureusement…

-Je suis désolé…la hiérarchie est implacable, il est difficile de percer. Mais je ne regrette pas mon passe-temps. Il était discret, mais il m’a permis de finalement Vous rencontrer…

Je me laissais ensuite relever puis allonger sur le divan. Quand la robe avait-elle été déchirée. Je n’en savais rien mais cette information passa bien loin de mes préoccupations tellement j’étais parti loin de toute préoccupation terrestre. Je sentis ses mains prendre les miennes pour se poser ensuite sur son corps. Mes lèvres formèrent un « oh » muet de surprise. Il me le permettait ? Vraiment ? Je ne me fis pas prier ! Je commençais à découvrir son corps, détaillant ses flancs, ses reins, les survolant de mes ongles, son dos…tandis que ma queue elle partait directement à la conquête de ses cuisses et de son entrejambe qu’elle commença à flatter.

Le moindre toucher, le moindre baiser, le moindre souffle me faisait monter aux rideaux. Quand il se mit à devenir plus confiant et a parcourir mon corps de ses mains douce et sa queue qui flattait mon entre jambe, j’en tremblais de plaisir! J’avais un faible pour les incube d’Asmodée, aller savoir pourquoi! Les incubes et succubes quoi que nos enfant de sang, n’était pas considéré réellement comme nos fils et fille, mais plutôt comme les enfants de la tentation et de la luxure. Quand,, autant dans les registre que dans la prison, ils seront reconnus comme nos réelle enfant, c’est que nous l’aurions annoncé et les aurions voulu délibérément et qu’ils ne seront pas de simple incube et succube née de la luxure. Je fini par courber le dos en baissant ma tête en soupirant de ses multiple caresse en tremblant, le stress et le manque de temps m’avais fait manquer quelque jours sans amusement, alors mon corps très tendus, était plus en manque qu’a son habitue. J’espérais pour Lux qu’il soit résistant puisque ce n’était pas certain qu’à l’aurore nous aurions fini! Mes hanches bougeait tout seule aussi, et mon anus me brûlait comme un diable! Mes mains se promenait, réclamant sans vergogne la moindre parcelle de sa chaire, mes ongles le griffant, laissant des marques et parfois couler son sang. Quand c’était le cas mes lèvres et ma langue allait volontiers laper le sang qui coulait ainsi que la plaie. Je fini par murmurer a son oreille :

- Je n’en peux plus de t’attendre lux… on passe… on passe à l’étape suivante.

J’étais littéralement mort d’envies, mon torse se soulevant et ce rabaissant a chacun de mes souffles prononcé, mais tout de même rapide, mes tétons étai dure comme du rock et je ne voulais parle pas du pantalon que j’ai vais l’impression qu’il avait rétrécie au lavage! Je fini par me coucher sur le dos, si Asmodée me voyant m’offrir ainsi, il dirait que soit, de un j’étais malade, de deux j’étais devenu humain ou de trois je n’étais pas uniquement en manque, mais vraiment, vraiment, vraiment en manque.

- Ne me fait plus attendre, je n'en peut plus!

Mes mains fébriles tirait sur les vêtements, mais mon envies trop grande m'enlevait toute force donc je n'arrivait pas a les déchirer et ou les enlever.

Je laissais mon Seigneur découvrir mon corps, laissant la volupté s’installer peu à peu dans mon corps, qui ne demandait que çà. J’adorais être caressé, j’adorais cette sensation d’être découvert, comme si j’appartenais à la personne. C’était absolument délicieux. Et…Oh oui !!!Ces entailles et ces griffures…Il se cabra, collant son bassin instinctivement à celui de son Seigneur, se frottant délicieusement contre lui, gémissant de plaisir…Et cette langue qui lapait et le chatouillait…Il espérait juste garder suffisamment de force pour réussir à pouvoir contenter sa Majesté à lui tout seul. Très rares étaient ceux ayant réussi un tel exploit. Ils étaient leur modèles à eux les succubes et les incubes. Son père par exemple était l’un de ses rares…Il ferait tout ce soir pour ne pas faillir à la réputation patriarcale, et à celle plus générale des incubes. C’était une question de fierté et d’honneur ! Un honneur placé très bas sous la ceinture mais un honneur quand même…

Mes mains continuaient pendant ce temps de caresser son corps malgré les vêtements, découvrant autant de son corps que possible, tandis que ma queue continuait sa douce torture. Aussi quelle surprise quand je l’entendis dire qu’il voulait accélérer le rythme…Il est vrai que des bruits de couloirs avaient dit que mon Seigneur n’avaient pu se libérer en soirée comme il l’aurait voulu cette semaine. Par Satan ! Si je supposais bien, ce soir ce serait mon anniversaire, ma fête et Samai en même temps ! Quelle joie ! J’avais vraiment intérêt à être à la hauteur…Je relevais mon bandeau pour un peu mieux évaluer la situation. Le client passait avant tout, même mon propre plaisir.

Et ce que je vis me donna envie à plus d’un titre. Sa Majesté était là languissante, prête à être cueillie tel un fruit mur, allongée, les joues rouges de plaisir. Quel délice. Je m’approchais quand je vis un couac dans l’étape déshabillage. Or de question que des habits viennent gâcher la fête ! D’une main douce mais toute professionnelle, j’ôtais d’un geste sûr haut, pantalon et sous-vêtement. Nous étions maintenant nus, nos virilités fièrement dressées. Je me léchais les lèvres d’envies…Oui…une envie folle de le lécher, au point que j’en avais la gorge sèche. Je tombais en adoration devant, le vénérant comme il se devait. Je me mis à le lécher et le sucer avec application, le prenant en bouche jusqu’à taper au fond de ma gorge. Quand je sentis un peu de liquide sortir, j’arrêtais pour le branler et lécher ces quelques gouttes.

-Quel merveilleux Saint-Chrême…ronronnais-je de plaisir, ma queue parlant pour moi : elle taptapait sur le lit, montrant plus que tout mon excitation. Je pris quelques gouttes sur mes doigts, et commençait à préparer Sa Majesté. Je voulais bien faire. Ce n’était pas parce que lui se sentait prêt que son anus l’était. Je ne voulais pas écouter la nuit par une déchirure stupide…

Je tirais sur mes vêtements quand doucement Lux les enlevait, le moindre de ses toucher me faisait frissonner. Mon envies était tolérable du moment qu’elle n’était pas présente. Dès qu’elle était présente, comme en ce moment, elle me rendait dingue me faisant tourner de l’œil. Je retenais son souffle par moment, et quand je soupirais, ma gorge sèche d’envi me faisait faire des bruits plus forts que je ne l’aurais voulu! Je le vit ce licher les lèvres et mes joues devient encore plus rouges et je laissais échapper un profond râle de bonheur quand elles ce posèrent sur mon membre douloureux. Il me suçait et me lichait avec ferveur me faisant râler, mon membre me faisait atrocement mal et il palpitait sous l’envies, mais il s’arrêtait pour me masturbé et licher mon membre. Pourquoi il arrêtait?! J’étais en si bonne voie pour jouir, et lui s’arrêtait?! Sa remarque sur mon pré-sperme me fit rougir et détourner le regard et je mordis ma lèvre en relevant le hanche quand il alla porter les quelques goute qu’il m’avait volé, à mon anus en frottant doucement sur ce dernier. Déjà mon corps ce courbait sous les sensations et le désir, j’avais littéralement la luxure à fleur de peau au point où je ne pouvais déjà plus penser décemment. Mes mains baladeuse ce promenait sur mon torse en griffant légèrement ma peau et je lui disais de ne pas trainer que je devenais fou, qu’il fallait que je jouisse! Mes hanches donnait de léger coup… il fallait absolument que je me vide sinon je deviendrais insupportable pour absolument tout le monde durant les prochaines semaines! Espérons que Lux soit doué et résistant, puisque si je n’étais un minimum satisfait c’est Asmodée qui allait lui tomber sur la tête!

Quand je constatais que finalement sa Majesté était plus que prête, puisqu’elle se tordait de plaisir, se caressant le torse, et suppliant presque, au point que j’en venais à me demandais si j’avais bien fait de faire durer les préliminaires, j’écartais ses jambes et m’approchais, le soulevant par les hanches pour avoir un meilleur angle de pénétration. J’approchais mon membre, et entrais d’un coup sec, jusqu’à la garde de mon membre. Par Satan, quelle délicieuse sensation. J’avais l’impression de fondre entre ses chairs. Je ne pu retenir un râle de plaisir, enfin de pu, ne voulu pas non plus ! J’aimais bien exprimer clairement mon plaisir…

Après quelques petites secondes, je me mis en mouvement. J’étais si bien. C’était chaud, c’était doux…Je m’enfonçais délicieusement en lui, pour entamer des mouvements rapides et profonds, juste ce qu’il fallait pour être sur la corde raide, évitant de jouir immédiatement. Cela aurait tout de même fait éjaculateur précoce. Mon égo en aurait pris un sérieux coup. Et puis il fallait bien que le plaisir dure un peu, nous étions dans une chambre, et non pas entre deux portes ! Pour l’imaginatif, nous aurions le reste de la nuit ! Là il s’agissait d’un besoin immédiat et urgent de sa Majesté. Ma queue diablotine entrant en action en se tortillant sur le membre de Sa Majesté, la pointe de ma fourche en taquinant l’urètre, alors que de temps à autre je tapais sur sa prostate.

Je me mordais la lèvre dans le même temps, non pour retenir mes cris, mais parce que l’odeur du sang de sa Majesté commençait à être diablement tentante. Il était si rouge…j’avais envie de le lécher, mais je craignais un crime de lèse-majesté. J’avais déjà tué une de ses filles sous son nez, il ne fallait peut-être pas tenter ma chance pour ce soir…

Je me tordais, la brûlure entre mes hanches ce faisant de plus en plus forte et finalement je le senti me pénétré, mon échine ce courba dans un râle de plaisir, enfin! Enfin je pourrais calmer cette brûlure des derniers jours! Je ne retenais pas mes râles plantant mes griffes dans le lit, alors que sa queue de diable venait s’enrouler sur mon membre dresser et plus nue qu’un vers, pour titiller mon urètre avec le bout fourchue de quoi me faire révulser les yeux… combiner au coup sur ma prostate et c’était divin! Je fini par le regarder, il se mordait la lèvre et c’est seulement là, que l’odeur de mon propre sang atteint mes narines. Je souris avant d’en prendre quelque goutte et de le porter à ses lèvres pâles. En souriant je m’approchais, et enroula mes cuisses autour de ses hanches je portai mes lèvres au sienne, pour reprendre du sang et lui faire lécher le bout de mes doigts alors que je faisais des mouvements de bassin. On disait que le sang d’un démon était plus qu’aphrodisiaque, à force de boire du sang et d’être toujours, ou presque, au garde à vous, je ne remarquais pas la différence, peut être que ça le rendrait fou, qui sais! Je rigolais de nouveau, mon feu légèrement calmer, maintenant c’est moi qui reprenais les rennes, non pas que j’avais jouie, seulement avoir fait augmenter mon plaisir était suffisant, pour quelque petite minute. Je couchais Lux sous moi et m’assis sur son membre en bougeant légèrement pour tirer sur ses nombreux piercings. Je fini par m’enlever à contre cœur, et fouilla dans un des tiroir pour en sortir un gode et le mettre entre mes fesses pour ensuite commencer à le faire vibré et le faire bouger en le prenant par ma queue reptilienne. Je me mordit la lèvres a le sentir bouger en moi, et je relevais ses hanches avec mes bras, passant ses jambes par-dessus mes épaules pour licher son anus et le membre de temps à autre.

Alors que j’allais et venais avec délectation dans cet antre chaud, je regardais sa Majesté prendre son plaisir. C’était magnifique…Et j’étais heureux de réussir à donner autant de plaisir à une si estimable personne, c’était une sorte de consécration pour moi, j’étais fier…Et je croisais les doigts que çà continue pour le reste de la soirée, le stress du faux-pas si vous préférez…

J’écarquillais les yeux comme des soucoupes quand je le vis porter son sang à mes lèvres. Timidement, j’entrouvris ces dernièrement pour laisser passer quelques centimètres de ma langue. La pointe entra en contact avec ce précieux liquide, et entra pour que le goûte. Oh nectar du démon, quelle joie, quel délice…Et ses jambes qui se nouaient autour de moi…J’allais bientôt jouir à ce rythme…Mon bassin ne me répondait plus, et quand il tendit ses doigts, je ne pu faire autrement que de saisir sa main des deux miennes pour en lécher consciencieusement les doigts un à un, comme la plus addictive des friandises, gémissant mon plaisir son vergogne. Je le laissais reprendre les rennes de notre corps à corps sans aucune gêne. Il était le Maître, et il venait de me faire une grande faveur, je n’allais pas non plus tirer avantage de la situation, à la limite que son sang venait de me rendre fou de désir et de plaisir, déclenchant mon pouvoir sur toute la surface de ma peau pendant un bref instant. Je respirais pour reprendre le contrôle. Pas sur lui non, j’aurais eu l’impression de commettre un crime de lèse-majesté.

Quand il commença à me chevaucher tout en tirant sur mes piercings, j’ai cru un bref instant que la Terre se mettait à trembler et que jamais plus je n’arriverais à reprendre mes esprits. C’était si bon…Je m’agrippais aux draps du lit comme à une bouée de sauvetage, les yeux fermés pour savourer le plaisir pur qui montait en moi, avant de me mettre à couiner de frustration. J’étais si près de jouir…Pourquoi partait-il ? Qu’avais-je fais de travers ? Je rouvrais les yeux pour comprendre. Oh…des jouets ! Je souris et abaissait mon bandeau, montrant ma totale soumission à mon Seigneur. J’hoquetais de surprise quand je le sentis soulever mes jambes. Que… ? OHHhhhh…Par Satan…J’en tremblais, évitant de bouger pour ne par le cogner par un faux-mouvement. Ce n’était pas le moment pour ce genre de bêtise. Je creusais les reins de contentement, suppliant pour avoir plus.

Après plusieurs minute de léchouille par si par la dans les endroits intime de lux je me mit en position pour le pénétré et me mordait les lèvres tellement c’était serrer et que j’avais de la difficulté a entré, mais cela faisait tellement de bien! Je donnais des coups a Lux plus ou moins modéré celons mes envies. Je fini par ralentir mes mouvements sinon il tiendrait jamais! Pauvre choux, je fini par coller mon nez dans son cou un moment en le lichant avant de finalement planter mes crocs dans sa chaire et de m’abreuver d’un peu de sang. Je voyais bien sa frustration à ne pas avoir joui la première fois et à mes mouvements réticent de le faire jouir. C’était cela la luxure, et les tortures de luxure était très exquise! Autant pour le bourreau que le condamné, mais le condamné lui… ce mourrait d’envies devenant fou de plaisir, mais très peu arrivait à jouir quand je ne voulais pas qu’il jouisse. Je sentais mon corps devenir chaud et je me lichais les lèvres, laissant le plaisir entré dans mes muscles comme un venin dans mes veines, augmentant la chaleur de mon corps. Je fini de nouveau par glisser les doigts dans ses piercing et jouait avec le pénien. Je tirais dessus, suffisamment pour que ça puisse lui faire légèrement mal et laisse une rougeur, sans laisser de grosses marque, par moment je lui faisais une morsure bref et rapide. Mes mouvements plus lents faisait augmenter mon plaisir et ses chairs étaient si douce, si chaude que je fondais presque. Les incubes et les succubes étaient tailler pour le sexe, entrainer depuis leurs sortie du berceau, ils savaient quoi faire et comment le faire, certain avait même l’anus qui pouvait s’humidifier, comment? J’en avais aucune idée et ne cherchait pas à le savoir!

Je gémissais sans honte mon plaisir né des attentions linguales de sa Majesté. Il était si attentionné…quel partenaire…certains ne songeaient pas aux préliminaires et vous prenaient pour une poupée avant de vous laisser, et là…j’avais quelqu’un, et pas n’importe qui, qui s’occupait de moi. Je le servirais jusqu’à la fin de mes jours, du sais-je mourir à la préparation de mes poisons pour lui !

Mais pour le moment, je mourais de plaisir, telle une motte de beurre fondant au soleil : c’était normal et logique. Je le sentis à un moment arrêter, et je manquais de pleurer. Je n’avais toujours pas jouis, et cette sensation extatique commençait à me manquer cruellement, à m’en brûler les reins. Quand je le sentis se présenter, j’étais prêt à l’accueillir. Je nouais mes jambes autour de sa taille. Sa queue ne m’échapperait pas, j’aurais mon orgasme ! Je le voulais tant…

Je le sentis me pénétrer. Quelle sensation ! Je serrais un peu les dents, la réputation de sa grandeur n’était pas exagérée. Heureusement que nous y étions préparé durant nos entraînements. Je le laissais se couler en moi, et le plaisir vint rapidement. Je serrais mes muscles pour l’enrober et l’accueillir du mieux que je pouvais en moi, gémissant un peu plus fort à chacun de ses passages. Tout mon corps était électrisé, mes muscles noués, je sentais même mes tétons pointer et durcir. Sa Majesté était un délice. Je secouais la tête quand je le sentis s’arrêter à nouveau, un sanglot étouffé dans ma gorge. Pourquoi ? Je tendis les bras à l’aveugle, pour le sentir se pencher. Je les posais délicatement sur son dos, le caressant, avant de comprendre : il voulait un peu de sang à son tour. Quoi de plus normal après tout. Il pouvait tout prendre, du moment qu’il me laissait exprimer tout mon désir.

-Maître…s’il vous plaît…osais-je demander d’une voix plaintive et lascive, avant de manquer jouir quand il s’attaqua à mon piercing pénien. J’étais si dur que s’en était douloureux, mais là cela atteignait les sommets du supportable. Je gémis de plus belle, arquant le dos. Plus…je voulais plus…ses morsures ne suffisaient pas, sa lenteur était une vraie agonie à laquelle je me sentais défaillir un peu à chaque seconde. Je l’attirais à moi doucement, le laissant juge de vouloir ou pas accepter ma requête muette, et l’embrassais avec ferveur, suçant sa langue avec désir et abandon, avant de murmurer à son oreille :

-Délivrez-moi Seigneur de mon péché, continuant ainsi le jeu débuté il y avait peu. Faite-moi voir les Lumières du Paradis…

Quand lux ce mit a littéralement dévoré ma bouche et mes lèvres je ne mis pas trois seconde à comprendre qu’il voulait jouir et ses petite paroles me le confirmèrent. Je rigolai et me relevait de sur lui pour saisir ses hanches et enrouler ma queue écailleuse autour de son membre bien dresser. Je souris et plia l’échine, autre chose que les gens qui avait couché avec moi pouvait savoir, la souplesse impressionnante de mon dos, alors je me penchai, faisant craquer mes vertèbres une par une les faisant pousser sur la peau de mon dos, me pliant presque en deux demi parfaite pour aller saisir son membre dans ma boucher et faire une fellation tout en titillant sa verge de ma queue reptilienne et martelant son trou du mieux que je pouvais avec mon propre membre dur comme du rock. Ma langue allait jouer dans l’urètre du petit démon alors que je me mis à trembler, ça venait, ça venait! Je tremblais ne retenant plus mes gémissements, cependant c’était dure a laisser échapper avec une bite aussi bonne ne bouche, le meilleurs était qu’en tel état d’extase, malgré mon dos plier d’une manière non naturel, il ne me faisait pas mal! En fait, ça ne me faisait jamais mal! Je fini par arrêter la fellation et me déplia pour donner de fort, très fort cou de bassin à lux. Je laissais échapper des grognements très profonds en mordant ma lèvre et renversant la tête avant de finalement me déverser en lui dans un râle très profond je soupirais avant de me laisser retomber sur mes bras au-dessus de lui pour l’embrasser en continuant de donner de petit coup de bassin, enivré par cette jouissance délivrant qui me pesait depuis plusieurs jours maintenant. Je soupirai après un petit moment en disant.

- Je pense que je vais t’inscrire sur la liste de mes serviteurs sexuels personnelle, je t’aime bien!

Je l’embrassais de nouveau tout en frissonnant de bonheur.

Un grand sourire béat illumina mon visage quand je le sentis bouger. Il acceptait ma demande, oui !! J’arquais le dos en soupirant de contentement quand je sentis sa queue s’enrouler et jouer avec ma verge. C’était si bon…Je me mordillais les lèvres pour ne pas jouir de suite, mon Seigneur semblait aimer l’endurance, je ne voulais pas le décevoir, et surtout, ne pas jouir avant lui. Je me retins à son cou, malaxant ses muscles, avant de sentir quelque chose de bizarre qui me coupa dans mon plaisir : sa Majesté se…pliait en deux ?! Mais…j’en avais entendu parler sans vraiment le croire, c’était quelque chose de totalement stupéfiant ! Mais j’arrêtais d’analyser le phénomène quand je le sentis me sucer. Je perdais légèrement pied, les mouvements de mes hanches devenant désordonnés, c’était si intense, et cette langue diabolique….Mes mains vinrent se poser telles des automates sur la tête de Mon Seigneur, accompagnant ses mouvements, alors que mes gémissements se muaient peu à peu en cris de pur plaisir.

-Encore ! Encore, oui…Plus !!!! AAAaaaAAaahhhhHHHhhh…..j’allais…j’allais…non non non !!!

Pourquoi s’arrêtait-il à nouveau ? Je secouais la tête, m’agrippant au tissu, le déchirant et le lacérant de mes petites griffes. Je voulais jouir !! Cela ne dura qu’un bref instant avant qu’il ne reprenne un rythme soutenu, enfin…j’allais…Je l’enserrais de mes cuisses et de mes bras, poussant même pour qu’il aille le plus loin possible. J’aurais mon orgasme par tous les diables de l’Enfer. Petit à petit, mes cris exprimant toute l’extase qui m’habitait, avant que je ne le sente se déverser en moi. Mes muscles se contractèrent autour de lui, et je jouis en une longue et puissante giclée, mon corps parcouru de spasmes de plaisir. Si certains incubes mouillaient, moi j’avais la particularité d’être une vraie fontaine quand j’éjaculais. Allez savoir pourquoi…Déjà, je sentais le sperme recouvrir une bonne partie de mon torse, alors que mon Seigneur m’embrassait. Je sentais toujours son membre en moi, bougeant paresseusement. C’était si bon…Je pouvais un soupir de contentement, j’étais repus comme un chat devant un bol de crème…

Je respirais lentement, entamant la descente vers les Enfers après avoir vu les lumières du Paradis, quand je l’entendis parler. J’avais mal compris non ? Ce n’était pas possible ? Jouir provoquait des hallucinations ? J’atterris violemment de mon orgasme pour me répéter la phrase, et remonter mon bandeau qui me couvrait les yeux. Je fixais sa Majesté. Elle avait l’air sérieuse. Enfin, autant que l’on peu l’être après une partie de jambe en l’air. Je souris un peu plus. J’étais au Nirvana…

-Sa Majesté me fait trop d’honneur…je ferais tout pour m’en montrer digne et ne pas la décevoir !! Je me laissais embrasser avec joie, voulant plus que tout le contenter.

Rigolait a son commentaire, mais non je ne rigolais pas je l’aimais bien ce jeunot! Je lui souris et l’embrassa avant de licher tout ce qu’il avait mis sur son ventre, en y laissant aucune goute avant de l’embrasser de nouveau lui permettant ainsi sans doute de ce gouter à lui-même! Ah que j’aurais aimé avoir autant de liquide dans mon cul, la prochaine fois je le sautais s’il est sur le point de jouir je m’embroche dessus! Je fini par m’enlever, cela faisait si longtemps que je n’avais point jouie que pour ce soir une seule fois allait me suffire, de quoi a rendre d’autre malade! Je me levais et mit mon manteau sur mon dos avant de lui expliquer sommairement la journée de demain et qu’il pouvait dormir avec moi pour la nuit! Je le regardait un moment avant de le câliner en caresses sensuelle, et ce pour mon bon petit plaisir personnelle tout en endormant comme si j’avais une peluche avec moi! Le lendemain mes serviteurs vint me réveiller, peut content des fluides organique qui se trouvait sur mes couettes, ce n’était pas vraiment de ma faute! Si mais en même temps non! Et je fis réveiller lux par la même occasion en m’habillant et alla le reconduire à la salle de diner des incubes et des succubes en lui disant de biens prendre tout ce qui lui tombait sous la main pour faire ses poisons et qu’il n’avait pas a hésité s’il lui manquait quoi que ce soit! Qu’il pourrait aussi bien aller dans le laboratoire que dans la bibliothèque que venir me voir s’il le fallait! Puis je repartie comme si de rien était, déjà le voir vivant après qu’il ait tué l’une de mes filles, devaient étonner les autres incubes et succube mais en plus de le voir revenir avec moi, cela devait être pire! Finalement je pris Asmodée du bras avant de lui soufflé à l’oreille que ce jeunot m’était entièrement réservé! Même s’il était déjà occupé si je le voulais je l’avais! Puis je lui donnais une pelle, comme j’aimais bien le faire pour repartir ensuite!

Je laissais mon Seigneur me lécher tout le corps. Si cela lui plaisais, je n’allais certes pas le priver de son plaisir n’est-ce pas ? Et puis m’embrasser ainsi juste après avoir terminé pour que je me goûte était délicieux, j’adorais cette petite attention que certains partenaires pouvaient avoir. Je me redressais, un peu dans les vapes (mais vu ce que nous avions fait, c’était logique), quand il sortit du lit. Je me voyais déjà reprendre mes affaires pour aller dormir dans ma chambre, et j’évaluais où elles étaient, quand il m’autorisa à partager son lit pour la nuit. Un grand sourire naquit sur mes lèvres. C’était magique, cette nuit était magique ! J’allais vite récupérer mon nounours en trottant à poil dans toute la pièce, un peu de sperme de sa Majesté coulant, mais la sensation n’était pas désagréable. Je m’allongeais vite, et mit discrètement mon plug. J’avais envie de prolonger les sensations que j’avais eues, et de garder cette présence en moi plus longtemps. Quand il se rallongea à son tour, je me collais contre lui, profitant de ses caresses. J’eu l’impression de m’endormir dans un cocon de soie.

Le réveil fut malheureusement un peu trop brutal et matinal à mon goût. Je m’habillais en mode automatique, et suivit sa Majesté qui me parlait de ma mission. J’hochais la tête pour montrer que je comprenais, mais il était beaucoup trop tôt pour moi pour que j’arrive à articuler un mot. J’entrais dans la pièce, encore tout échevelé de notre nuit, quelques traces de fluides sur le corps et sentant le sexe à plein nez. Je le saluais quand il reparti, et me sentit fixé. Ah oui ! La façon dont j’étais parti la veille au soir. Cela aida à me réveiller un minimum, tout comme la table du petit-déjeuner, où trônaient tout plein de douceurs. Avec un petit sourire, je m’approchais et m’assis, savourant la sensation du plug toujours en moi. Je me servis une tasse de chocolat chaud, et en prit une gorgée, me retrouvant avec des moustaches, avant d’articuler.

-Bonjour tout le monde. Je ne sais pas vous, mais j’ai passé une nuit d’enfer…Susurrais-je avec volupté. Mes membres en étaient encore tout cotonneux. Et toc pour ceux qui voulaient frauder la hiérarchie et me dépasser ! Maintenant ce serait plus compliqué !